
l'incommodité des chefs, épuisés et au bord du burn out : “C'est la dictature des prix, de la communication, du buzz”, raconte Patricia. “Si pendant des années les chefs ont pris l'avion et n'ont pas été chez eux, c'est parce qu'ils avaient le sentiment d'être obligés d'être en représentation, et que c'était potentiellement une occasion perdue de faire de la communication que de refuser une invitation à l'autre bout du monde. On a un peu anticipé cette fin d'époque l'année dernière avec la première édition du ‘Staying Tour’. Finalement, la pandémie nous a tous obligée à rester chez nous. Maintenant, il faut se concentrer sur la question du comment se réinventer.”