Avec cette décision, c'est la « dédiabolisation » du parti, voulue par Marine Le Pen qui est en jeu. Un sondage BVA-Orange-iTélé publié samedi a conforté la volonté de la présidente du mouvement :
près d'un Français sur trois (32 %) souhaite que Marine Le Pen ait davantage d'influence dans la vie politique française – son meilleur score avec cet indicateur –, alors que Jean-Marie Le Pen voit sa « cote d'influence » chuter à 2 %.