Claude Guéant partage décidément tout avec son mentor, Nicolas Sarkozy. Jusqu’à se faire piéger, tout comme lui, par son second téléphone portable, qu’il croyait sûr… Tout débute au mois de mai 2013 lorsque les policiers mandatés par les juges Serge Tournaire et René Grouman, chargés de l’affaire libyenne – le financement supposé de la campagne présidentielle de M. Sarkozy en 2007 par le régime libyen –, interceptent une conversation entre M. Guéant et l’ancienne chef de son cabinet, Nathalie Gonzalez-Prado, à qui il communique un nouveau numéro qu’il dit utiliser pour échapper aux journalistes.
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