
En près d’un demi-siècle, l’artiste avait transformé le pavillon rebaptisé « maison des sons » en un véritable laboratoire musical rempli, de la cave au grenier, de dispositifs d’enregistrements, d’instruments de son invention et des dizaines de milliers de partitions ou de bandes magnétiques… Malgré une campagne de pétitions et une mobilisation des proches de l’artiste pour sauvegarder le site, cette maison dont Pierre Henry n’était que locataire va vraisemblablement être rasée pour laisser place un immeuble.